Un écosystème qui croit au collectif
L’originalité du projet repose sur un écosystème ouvert, où se croisent entreprises, collectivités, associations et laboratoires de recherche. La French Tech Méditerranée, présidée par l’entrepreneur Sébastien Lacaze (spécialiste de la géothermie), joue un rôle central pour fédérer les talents. “Les idées naissent de la rencontre”, a souligné le maire, insistant sur l’importance des synergies locales.
Des associations comme Digital113 ou La Mêlée contribuent également à cette dynamique collective en favorisant les mises en relation, les partages de compétences et l’émergence d’initiatives innovantes.
L’énergie de l’inclusion
Le maire a réaffirmé sa volonté de faire de l’innovation un levier accessible à tous. “Il ne faut pas être fils d’eux pour entreprendre”, a-t-il lancé, appelant à démocratiser l’accès à la création d’entreprise, en particulier dans les quartiers et auprès des jeunes. Une ambition forte, cohérente avec la volonté de faire des énergies renouvelables un moteur d’inclusion sociale autant qu’économique.
Un positionnement stratégique assumé
Lors de VivaTech, le maire ne s’est pas contenté de faire acte de présence. Il a activement tissé des liens entre les start-up locales et des partenaires institutionnels, notamment au sein du ministère des Armées. “J’ai fait mon job de maire. Je suis allé chercher des moyens, des réseaux, des mises en contact”, a-t-il précisé.